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Compagnie de théâtre franco-argentine
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Une écriture collective de MARTE (argentine) : Paula Baró, Laura Derpic, Fiorella De Giacomi, Giuliana Kiersz, Nicolás Lodigiani, Santiago Nader.

Mise en scène : Fiorella De Giacomi (Arg.)

Coordination dramaturgique : Giuliana Kiersz (Arg.) 

Traduction :Caroline Gleyze, Eva Jarriau (France) 

Assistantes mise en scène : Astrid Albiso (Arg.), Elena Durant (Fr.) 

Musique originale : Pablo Ibañez (Arg.)

Accessoires : P’tit Louis (Fr.) 

Communication : Belén Charpentier, Lux Valladolid (Arg.) Illustration : Clémence Grimal (Fr.) Réalisation audiovisuelle : Niels Bent (Fr.), Martin Quirno (Arg.) 

Idée originale et collaboration artistique : Eva Jarriau

Avec :

Astrid Albiso, Niels Bent, Pablo Ibañez, Eva Jarriau, Laura Segré, Thomas Silberstein, Laurène Thomas avec la participation de Cyprien Colombo

Coordination/ direction de production: Eva Jarriau/Astrid Albiso, Caroline Gleyze et Elena Durant (El Vaivén), Laura Derpic (MARTE)

Dans l’impasse, une expérience collective est une performance en Site Specific. Elle s’écrit à partir d’un lieu et en utilise ses particularités. Cette forme de travail développe des images, des histoires afin de révéler la relation complexe qu’il y a entre nous et notre environnement physique. Le théâtre en Site Specific permet au spectateur de vivre le spectacle d’une autre manière, de supprimer enfin le quatrième mur et d’imaginer une nouvelle relation entre lui et les acteurs.

Tenant compte de ce premier défi, il a été question d’aborder l’écriture à partir du matériel de la maison qu’a envoyé l’équipe parisienne (plans, photos, vidéos, etc.) mais aussi de deviner quelles positions du public seraient suffisamment dynamiques et quelle esthétique la maison a-t-elle en elle-même. 

C’est pourquoi l’écriture s’est générée à partir de cet espace vivant, de sa quantité immense de meubles, de ses objets chargés d’histoire ainsi que des acteurs, un groupe jeune et français. Il a donc été décidé de faire une pièce avec différents parcours qui se configurent, en pensant à de petits groupes de spectateurs qui se montent et se démontent, qui interviennent dans différentes scènes et par conséquent, récupèrent des informations distinctes les uns des autres. 

15 participants et 10 parcours ; c’est ce qui a donc été pensé pour pouvoir créer une perception individuelle de l’œuvre nous amenant donc à un des thèmes qui la traverse: la construction identitaire et la relation individuelle avec le collectif.

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